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Bolivie (part 5) - Coroico & El Camino de la Muerte

Que le temps passe vite ! Déjà la dernière étape pour mon frère dans ses « vacances » de 2 semaines. Et pour finir en beauté, on reprend un peu de chaleur pour se rendre dans la ville perchée de Coroico. Une nouvelle nuit de bus de Sucre à La Paz puis un autre pour rejoindre notre destination finale.


Coroico, un cadre idyllique

De l’autre côté de la Cordillère des Andes, perchées dans ce qu’il reste des montagnes à 1700 mètres d’altitude, Coroico est un village parfait pour se détendre et profiter de la verdure de la jungle. Nous ne sommes qu’à quelques kilomètres à vol d’oiseau de l’Amazonie.


Depuis le centre du village, on peut accéder à 3 cascades qui n’ont rien à voir avec celles de Sucre. Celles-ci sont nettement plus belles.


L’avantage d’être dans les montagnes, c’est de pouvoir profiter de points de vue fantastiques. Si celui de notre chambre est vraiment sympa, on se plaît aussi à admirer le coucher de soleil depuis le jardin d’un hôtel laissé en libre accès. Un pur régal.



El Camino de la Muerte, quand le nom effraie plus que l’activité

J’ai laissé l’opportunité à Alexis de choisir la dernière activité. Il choisit le vélo ce qui nous a directement amené à Coroico : ville d’arrivée de « La Route de la mort ».

Pour faire cette activité, la majorité des agences se trouvent à La Paz, mais quelques-unes sont présentes sur Coroico avec des prix un peu plus attractif. On réserve donc pour 350B (42€) chacun (quand même) pour un tour incluant le prêt du vélo, l’équipement de protections, le transport, le guide, l’entrée au site, un snack en route et le déjeuner à l’arrivée.


Il faut savoir que cette route de la mort faisait partie des plus dangereuses au monde du temps où les voitures et les camions circulaient dessus. Depuis, il y a eu l’ouverture d’une nouvelle route, laissant la liberté aux agences de se faire un maximum de bénéfices sur le nom de ce lieu.

La descente dure une trentaine de kilomètres et on apprécie davantage la beauté du paysage que la dangerosité de la route. Disons que celle de Colombie m’a donné vraiment plus d’adrénaline.


On est quand même content d’arriver parce que la descente travaille bien les bras et les jambes sur une route tous terrains.


A dans 8 mois mon frère

Ça y est, c’est le grand départ pour Alexis ! Sur le coup, en faisant un bilan des 15 jours, on était tous les 2 d’accord pour dire que ce séjour a été incroyablement dense et finalement presque long avec tout ce qu’on a fait. Mais en écrivant ces quelques lignes, je me rends compte que c’est passé une vitesse phénoménale !

Un dernier verre devant le match Liverpool-Roma de Ligue des Champions, un dernier repas et j’accompagne mon frère jusqu’à son taxi pour l’aéroport. Aussi inattendu que naturel, les larmes me montent jusqu’à ne plus pouvoir les retenir…

A dans 8 mois mon frère. Ça m’a fait un plaisir incroyable de pouvoir partager avec toi un bout de mon aventure. De pouvoir te faire vivre un peu la façon dont je voyage. Merci d’être venu, ça m’a fait beaucoup de bien et j’espère que t’auras l’envie de repartir avec moi dans un autre trip et dans un autre pays. D’ici là, prends soin de toi et la beauté d’internet fait qu’on continuera à prendre des nouvelles de loin. Je t’aime !


De mon côté, un bus de nuit m’attend pour Cochabamba…


Les anecdotes de la semaine

Suffisamment d’émotions fortes pour ne pas en mettre…

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